MÉTHODE
Avec
l’émergence et le développement incessant des supports et outils numériques,
l’apprenant se retrouve concrètement placé au centre de ses apprentissages,
plongé dans la pédagogie ouverte. Devant l’abondance des ressources (modalités,
lieux d’accès, etc.) et une autonomie croissante, il apparaît indispensable que
cet apprenant puisse organiser efficacement ses apprentissages.
C’est
de ce constat qu’est née l’idée de l’EPA, l’Environnement Personnel
d’Apprentissage. Ou comment l’apprenant se crée son propre espace pour
apprendre au mieux.
Au-delà de
la technologie sur lequel il s’appuie, l’EPA est un véritable dispositif dont
l’objectif est de contribuer à l’autonomie de l’apprenant, de permettre une
formation auto-dirigée. Dans ce type de formation auto-dirigée, le système est
ouvert. Si ouvert qu’il ne peut fonctionner que si des moyens sont mis à
disposition de l’apprenant
Auparavant,
le système formatif, même sur les plateformes numériques, se voulait transmissif,
autour d’une diffusion de l’information, des ressources. Désormais, avec l’EPA,
la plateforme permet avant tout la structuration de
l’apprentissage
Dans cet
environnement personnalisable (un peu à la manière des agrégateurs de contenus
de type Netvibes), l’apprenant centralise les ressources qu’il a sélectionnées,
planifie son apprenance selon ses besoins et selon son rythme, paramètre à son
gré fonctionnalités et services... L’EPA, en résumé, c’est une
sorte de mallette d’apprentissage virtuelle.
Longtemps
récepteur, l’apprenant doit aujourd’hui devenir maître de son apprentissage. Ce
que favorise donc l’EPA, comme nous le confirment les articles associés
ci-dessous.
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