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jeudi 21 novembre 2013

Article 38



MÉTHODE
Avec l’émergence et le développement incessant des supports et outils numériques, l’apprenant se retrouve concrètement placé au centre de ses apprentissages, plongé dans la pédagogie ouverte. Devant l’abondance des ressources (modalités, lieux d’accès, etc.) et une autonomie croissante, il apparaît indispensable que cet apprenant puisse organiser efficacement ses apprentissages.
C’est de ce constat qu’est née l’idée de l’EPA, l’Environnement Personnel d’Apprentissage. Ou comment l’apprenant se crée son propre espace pour apprendre au mieux.
Au-delà de la technologie sur lequel il s’appuie, l’EPA est un véritable dispositif dont l’objectif est de contribuer à l’autonomie de l’apprenant, de permettre une formation auto-dirigée. Dans ce type de formation auto-dirigée, le système est ouvert. Si ouvert qu’il ne peut fonctionner que si des moyens sont mis à disposition de l’apprenant
Auparavant, le système formatif, même sur les plateformes numériques, se voulait transmissif, autour d’une diffusion de l’information, des ressources. Désormais, avec l’EPA, la plateforme permet avant tout la structuration de l’apprentissage
Dans cet environnement personnalisable (un peu à la manière des agrégateurs de contenus de type Netvibes), l’apprenant centralise les ressources qu’il a sélectionnées, planifie son apprenance selon ses besoins et selon son rythme, paramètre à son gré fonctionnalités et services...  L’EPA, en résumé, c’est une sorte de mallette d’apprentissage virtuelle.
Longtemps récepteur, l’apprenant doit aujourd’hui devenir maître de son apprentissage. Ce que favorise donc l’EPA, comme nous le confirment les articles associés ci-dessous.
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