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vendredi 29 novembre 2013

Article 42

27 nov. 2013

Le Webinaire du 14 novembre : Les communautés d'apprentissage

Découverte a contre courant de la chronologie d'ITyPA : je sais je suis a la ramasse
Mais incontournable car si intéressante : merci ! je déculpabilise

Il est ici :


et très détaillé dans cet article ou façon Prezi

Pour ma part, et pour moi mais aussi pour vous, voila ce que j'en retiens
  • 3 méthodes qui sont arrivées chronologiquement dans l'intelligence collective
    1. la planification qui était un choix AVANT pour éviter les pertes, puis face aux imprévisibles
    2. le choix PENDANT
    3. et finalement le choix APRES qui a été permis par l'ABONDANCE des possibilités, des opportunités
      Ce choix A POSTERIORI n'est pas toujours possible mais très performant
    Et pour illustrer cette évolution le shema de JM Cornu
  • le taux différent de participation que chacun peut avoir en fonction des communautés
    et le constat permanent des pourcentages
    Et encore merci d'avoir mon utilité d'OBSERVATRICE
  • 3 "causes" à la participation et à sa richesse
    1. la convergence : la participation naturelle due à l'abondance, le partage provoqué par la vision à long terme comme une communauté d'apprentissage en prolongation d'ITyPA et grace à la reconnaissance par l'estime, et pour éviter le coté "mouton", l'apport
    2. de la divergence
    3. de l'opposition
    avec a nouveau un schéma très clair
  • L'implication - qui doit venir de soi - en donnant des motivation et en évacuant des freins,
    le seuil de passage à l'acte est franchi si simplicité et réactivité sont au rendez vous
  • des définitions par rapport au groupe : il se détermine par son objectif et ses rapports aux "autres", donc
    1. une communauté donnerait un ensemble de personne vu comme 1 être collectif fonctionnant par entraides
    2. un groupe de travail produit pour l'extérieur
    3. un réseau est un groupe mettant des personnes en contact
    ce qui n’empêche pas une communauté de produire pour l'extérieur et de mettre en contact des personnes
  • comment objectiver : ce qui se fait par une itération entre
    1. synthèse, cartographie de ce qui se fait - carte ou liste à points -
    2. contribution, que l'on peut pousser par la question "qu'elles sont les idées qui manquent sur cette synthèse ?" ; et surtout ne pas choisir ou seulement à postériori pour ne pas freiner la contribution
    Est proposé un document fort intéressant en 2 parties sur "Comment produire un document à plusieurs centaines de personnes" (1ère partie et 2ème partie) reprenant des idées du webinaire

La longueur de ce billet n'est elle pas dicter par la richesse du discours de Mr Cornu ?

jeudi 28 novembre 2013

Article 41



  Marc NAGEL

Le lien source du Google.doc de Marie RIEU

https://docs.google.com/document/d/1G_WbWH56HWYvGEzWcliia8cn1oHh3nArS3yuyzljM6A/edit#


Dans votre blog, sur le forum, ou sur tout autre support disposant d’un fil RSS…

Choisissez le type de production qui vous convient le mieux cette semaine :

Présentez… une ressource traitant de l’apprentissage tout au long de la vie et qui vous plaît.
Témoignez… de votre expérience de l’apprentissage tout au long de la vie, dans ces différentes formes. Vous pouvez faire une présentation générale ou choisir une anecdote à nous raconter !
Analysez… la problématique de l’apprentissage tout au long de la vie, à votre niveau ou à un niveau plus global.

Marc Nagels reformule de cette manière :

Faites le point sur vos apprentissages tout au long de la vie
Qu’avez-vous appris ces derniers mois ? 

J'ai appris à me servir de hangout en Communauté d'apprentissage.

Vos apprentissages ont-ils été réalisés dans le cadre d’un dispositif formel de formation ou d’un dispositif informel ?
Ces apprentissages ont été réalisé dans le cadre du cursus Mooc ITYPA 2 et ELEARN2.

Quelles circonstances vous paraissent-elles particulièrement favorables ou défavorables pour apprendre ?

Ce qui me paraît favorable c'est qu'avec le moteur de recherche Quant.
Son originalité réside dans le fait qu'il propose lors d'une même recherche plusieurs types de résultats : sites web classiques, sites marchands, sites d'actualité ou encore réseaux sociaux1. Le but de Qwant est d'ailleurs d'afficher Tout le web sur une seule page Qwant, de proposer une nouvelle vision du web
Les circonstances défavorables sont l'infobésité et la notion de webprofond. 

Réfléchissez à ce que vous apporte l’utilisation de machines pour stocker des informations et apprendre. Quelles ressources et contraintes reconnaissez-vous dans cet usage ?

Pour ma part au niveau stockage j'essaye de pas mettre mes oeufs dans le même panier. En effet j'utilise wuala, dropbox, google drive.

Comment contrôlez-vous vos apprentissages ? 

J'essaye dans la mesure du possible de proposer des posts sur la Communauté COCOO et Elearn2. En fonction des retours j'essaie d'adapter mon type de fonctionnement. Je fais des fiches articles.

Avez-vous le sentiment de les choisir librement ? 

je n'ai pas vraiment une liberté de choix, la thématique m'est imposée.

Que pensez-vous de votre capacité à persister et à faire les efforts nécessaires pour parvenir à vos fins ?

je lance des bouteilles à la mer. Il est difficile de proposer quelque chose de nouveau à une personne surtout des outils. Comme tout le monde on est poursuivi par la pendule.

La connectivité mondiale, les machines intelligentes et les nouveaux médias remodèlent notre vision du travail, ce qui le constitue et les compétences dont nous avons besoin pour être productif. L’Institute for the future (IFTF) a décrit les 10 compétences clés dont nous aurons besoin dans une dizaine d’année. 

Cette étude se différencie des études habituelles qui cherchent plutôt à établir une typologie des métiers futurs (avec des prédictions qui ne s’avèrent pas exactes). L’article de la FING a proposé une traduction de ces compétences que nous vous reproduisons ci-dessous.

  • Sense-making : capacité à déterminer le sens profond de ce qui est exprimé (différencier les homonymes, par ex)
Si nous allons pas à la profondeur des significations, notre recherche reste superficielle.
  • Social intelligence : capacité à se connecter aux autres d’une façon profonde et directe, à comprendre les réactions des autres et à stimuler des interactions
Pour se connecter à l'autre, il faut d'abord vouloir se mettre soit même en situation d'ouverture, c'est à mon avis se livrer avec ses forces et surtout ses fragilités.
Il n'est pas inné de se connecter aux autres d'une façon profonde. Chacun a son mode de pensée, de réflexion, sa culture, ses freins personnels, familiaux, techniques.
 

  • Novel & adaptative thinking : capacité à penser et à arriver à des solutions et des réponses au-delà de ce qui est appris par cœur ou basé sur des règles
 L'homme procède par paliers d'apprentissage, il se déconstruit pour passer à une autre marche inconnue de lui-même.  

Cross-cultural competency : capacité à travailler dans différents milieux culturels
Il est très difficile de travailler dans des milieux culturels différents. Les références textuelles, alphabétique, signification sont différentes selon les ethnies.

Décrire et nommer

Décrire une situation où sont en jeu des différences culturelles, ce n’est pas simple. Il faut être clair sans être caricatural, précis sans se perdre dans les détails, concret sans exagérer ni atténuer la réalité.
Mais nommer cette situation, voilà qui est autrement plus difficile. on ne peut pas en rester sur le plan de l’anecdote. Il est indispensable de donner des repères pour consolider les situations décrites.

Donner un nom à celles-ci est d’une grande responsabilité en ce que le nom généralise, en renvoyant les situations semblables à une définition commune, et en ce qu’il suggère, en évoquant des situations déjà vues ou décrites lorsqu’il est mentionné.
Décrire une chose dans une langue, la nommer ce n'est pas simple : un homophone dans une langue telle le français est déjà compliqué à faire comprendre à autrui: « le chat qui miaule / le chas de l'aiguille / le shah

  • Computational thinking : capacité à traduire une importante somme de données et d’informations dans des concepts abstraits et à comprendre un raisonnement basé sur des données
La somme de la plupart des données sont numérisées et sont stockées par des machines ou se trouvent dans le Cloud.
 
La pensée informatique est une proposition relativement récente, nous utilisons le terme pour désigner les apprentissages liés à l'informatique qui transcende l'aspect purement fonctionnel ou professionnelle (comme c'est le cas avec même la discipline plus mature "penser" mouvements), et offrons aux étudiants avec d'importantes compétences de pensée critique. Tout le monde n'est pas à même de décrypter et de comprendre un raisonnement basé essentiellement sur des données abstraites.
 
  • New-media literacy : capacité à évaluer et à développer du contenu qui utilise les nouvelles formes de média, et à s’appuyer sur ces médias pour une communication convaincante
L'éducation aux médias est le processus d'enseignement et d'apprentissage sur les médias . Il s'agit de développer les capacités critiques et créatives des jeunes quand il s'agit de médias. L'éducation aux médias ne doit pas être confondue avec la technologie éducative ou avec les médias éducatifs 
  • Transdisciplinarity : capacité à comprendre des concepts venant de diverses disciplines
La transdisciplinarité connote une stratégie de recherche qui traverse les frontières disciplinaires nombreux pour créer une approche holistique.
 
  • Design mindset : capacité à représenter et développer des taches et des processus de travail pour les résultats voulus
Dans la théorie de la décision et la théorie générale des systèmes , un état ​​d'esprit est un ensemble d'hypothèses, méthodes ou notations détenues par une ou plusieurs personnes ou groupes de personnes qui est ainsi calculé que cela crée une incitation puissante au sein de ces personnes ou groupes de continuer à adopter ou accepter des comportements antérieurs, les choix, ou des outils .  ses effets sur l'analyse et les processus de prise de décision. L'objet final étant le fruit d'un travail humain et de tâches ordonnées.
  • Cognitive load management : capacité à filtrer l’information par importance, et à comprendre comment maximiser le fonctionnement cognitif en utilisant une variété d’outils et de techniques
Traditionnellement, la théorie de la charge cognitive (CLT) a mis l'accent sur les méthodes d'enseignement pour réduire la charge cognitive étrangère afin que les ressources cognitives disponibles peuvent être entièrement consacré à l'apprentissage.
 
  • Virtual collaboration : capacité à travailler de façon productive, à mener une mission et à montrer sa présence comme un membre d’une équipe virtuelle.
Collaboration virtuelle est la méthode de collaboration entre une équipe virtuelle membres qui est mis en œuvre par la communication sur les technologies multimédia. Collaboration virtuelle suit le même processus que la collaboration, mais les parties impliquées dans la collaboration virtuelle n'interagissent pas physiquement et communiquer exclusivement par les voies technologiques. Les équipes distribuées utilisent collaboration virtuelle pour simuler le transfert de l'information présente dans les réunions en face-à-face, la communication pratiquement par des moyens verbaux, visuels, écrits et numériques.
 
Téléchargez le rapport présentant les compétences et la carte créée pour les représenter.

 2. Pistes d’activités

 

Dans votre blog, sur le forum, ou sur tout autre support disposant d’un fil RSS…

Choisissez le type de production qui vous convient le mieux cette semaine :

- Présentez… une ressource traitant de l’apprentissage tout au long de la vie et qui vous plaît.

- Témoignez… de votre expérience de l’apprentissage tout au long de la vie, dans ses différentes formes. Vous pouvez faire une présentation générale ou choisir une anecdote à nous raconter !

- Analysez… la problématique de l’apprentissage tout au long de la vie, à votre niveau ou à un niveau plus global.

jeudi 21 novembre 2013

Article 38



MÉTHODE
Avec l’émergence et le développement incessant des supports et outils numériques, l’apprenant se retrouve concrètement placé au centre de ses apprentissages, plongé dans la pédagogie ouverte. Devant l’abondance des ressources (modalités, lieux d’accès, etc.) et une autonomie croissante, il apparaît indispensable que cet apprenant puisse organiser efficacement ses apprentissages.
C’est de ce constat qu’est née l’idée de l’EPA, l’Environnement Personnel d’Apprentissage. Ou comment l’apprenant se crée son propre espace pour apprendre au mieux.
Au-delà de la technologie sur lequel il s’appuie, l’EPA est un véritable dispositif dont l’objectif est de contribuer à l’autonomie de l’apprenant, de permettre une formation auto-dirigée. Dans ce type de formation auto-dirigée, le système est ouvert. Si ouvert qu’il ne peut fonctionner que si des moyens sont mis à disposition de l’apprenant
Auparavant, le système formatif, même sur les plateformes numériques, se voulait transmissif, autour d’une diffusion de l’information, des ressources. Désormais, avec l’EPA, la plateforme permet avant tout la structuration de l’apprentissage
Dans cet environnement personnalisable (un peu à la manière des agrégateurs de contenus de type Netvibes), l’apprenant centralise les ressources qu’il a sélectionnées, planifie son apprenance selon ses besoins et selon son rythme, paramètre à son gré fonctionnalités et services...  L’EPA, en résumé, c’est une sorte de mallette d’apprentissage virtuelle.
Longtemps récepteur, l’apprenant doit aujourd’hui devenir maître de son apprentissage. Ce que favorise donc l’EPA, comme nous le confirment les articles associés ci-dessous.
A lire aussi 

jeudi 14 novembre 2013

Article 37

Webinaire du 14 novembre

jm-cornuInvité : Jean-Michel Cornu
Jean-Michel Cornu est un spécialiste  de la coopération et de l’intelligence collective. IL est également directeur scientifique de la Fondation Internet Nouvelle Génération (Fing) et Chief Visionnary Officer de Imagination for People, une communauté internationale pour repérer et soutenir les projets sociaux créatifs.
Il a développé depuis 15 ans des outils et méthodes pour comprendre ce qui se passe dans un groupe et faciiter le développement de la coopération, en particulier au sein du groupe intelligence collective de la Fing, de la formation d’animateurs de réseau Animacoop et du projet européen de formation de formateurs à la coopération Coop-TIC.

Publications – Réseaux sociaux


Ressources

Le support de présentation de Jean-Michel Cornu :



D’autres ressources 
  • Comme entrée en matière : la page « Communauté d’apprentissage » sur Wikipédia.
    «  L’objectif d’une communauté d’apprentissage est d’augmenter le savoir collectif par l’implication de chaque participant au développement de son savoir individuel« .
  • « Réseaux sociaux, communautés, groupes : cherchez les différences !« , article de Charles Brisson, Thot, 21 novembre 2011
    « Les réseaux sociaux, les communautés (on s’intéresse ici aux communautés en ligne) et les groupes (réels ou virtuels) sont des dénominations courantes dans la vie d’aujourd’hui – Facebook (surtout), Twitter, Linkedin et autres sont devenus, rapidement, des éléments importants de notre façon d’être et d’agir en société, principalement en société virtuelle. Des dénominations courantes et usuelles mais que recouvrent-elles réellement? Voici quelques pistes de réponse« .
  • « Comment construire une communauté d’apprentissage« , Om El Khir Missaoui, Thot, 10 juillet 2012
    « Quand la technologie s’en mêle, souvent et en toute sincérité, on croit que l’utilisation d’outils participatifs induira « naturellement » la participation des utilisateurs, apprenants de formation initiale ou continue. Mais rien ne sert de s’outiller à outrance si derrière l’effort d’équipement, il n’y a pas de formation sur mesure ou d’engagement moral et institutionnel autour de projets intégrateurs. Et c’est une expérience qui se construit sur la durée, avec des procédures réfléchies, appliquées avec l’adhésion du groupe qui en bénéficie.« 
  • « Communautés d’apprentissage, e-learning et MOOCs« , Christine Vaufrey, Thot, 20 septembre 2013
    « Pour faire simple, disons que la communauté d’apprentissage naît de la volonté de l’enseignant pour ses élèves ou étudiants (force externe), alors que la communauté de pratique naît de la seule volonté des participants (force interne). Mais à l’heure des cours massifs, ouverts et en ligne, cette distinction ne tient plus. Tout simplement parce que l’apprentissage devient la pratique commune aux participants, qui n’ont besoin de personne pour leur dire ce qu’ils doivent faire, comment ils doivent s’organiser, etc. Dans ce scénario, la communauté de pratique est donc bien une communauté d’apprentissage !« 

Pistes d’activités

Jean-Michel propose l’activité suivante :
Analysez votre groupe (entre 30′ et 45′)
Objectif : comprendre par vous même ce qui se passe dans votre groupe
Choisissez un groupe précis :
  • Il peut s’agir d’un groupe ou vous êtes animateurs, participant actif voire même simple observateur. Cela peut être un groupe au travail mais aussi dans vos loisirs, avec vos amis, groupe formel ou informel…
  • si votre groupe a des sous groupes ou fait partie d’un groupe plus grand, choisissez celui que vous désirez étudier (vous pouvez faire cet exercice plusieurs fois avec des groupes différents)
  • de préférence choisissez un groupe assez grand (plus de cent ou au moins plus de douze personnes) pour y retrouver les éléments vus cette semaine sur les grands groupes
Puis téléchargez et imprimez le questionnaire  »comprendre par vous même ce qui se passe dans votre groupe » :(4 pages plus une pour aider à faire la synthèse)
  • Vous pouvez le remplir à la main (cela prend environ 20 minutes, ne dépassez pas les 30 minutes)
  • Ne vous restreignez pas : personne ne lira ce que vous avez écrit. A la fin simplement, vous pourrez faire votre propre résumé et choisir ce que vous souhaitez ou non partager avec d’autres
  • Pour chacune des douze facettes analysées vous avez plusieurs types de réponses rapides possibles
    • des cases à cocher oui ou non
    • des règles -/+ pour indiquer un trait environ au niveau qui vous semble approprié (entre le – et le +). Si vous le souhaitez, vous pouvez faire deux traits si par exemple il vous semble qu’il y a deux niveau d’implication très distincts dans votre groupe (voire indiquer un intervalle)
    • des espaces pour mettre une courte phrase (si vous souhaitez prendre plus de temps et développer vous pouvez le faire sur le dos des feuilles)
    • une case à droite du titre que vous pouvez cocher si ce point vous semble important (cela vous aidera à faire votre synthèse à la fin)
***

Et nos propositions habituelles…

  • Je regroupe
Outre les ressources proposées ci-dessous, quelles autres ressources connaissez-vous ou bien avez-vous trouvées sur les communautés d’apprentissage ?
  • J’analyse
Suite à vos lectures, pouvez-vous dire que vous faites partie d’une communauté de pratiques ? Si oui, décrivez-la. Sinon, recherchez s’il en existe une dans l’un de vos centres d’intérêt. Avez-vous déjà eu l’occasion de travailler en coopération avec d’autres ? Qu’en retenez-vous ? Que feriez-vous différemment ?
  • Je m’approprie
Que retenez-vous de vos expériences, de vos lectures, de vos échanges sur les communautés d’apprentissage ?
  • Je diffuse
Choisissez le type de production qui vous convient le mieux cette semaine :
- Présentez… une ressource traitant des communautés d’apprentissage et qui vous plaît.
- Témoignez… de votre expérience en tant que membre d’une communauté d’apprentissage. Vous pouvez faire une présentation générale ou choisir une anecdote à nous raconter !
- Analysez… la problématique de l’identité numérique, à votre niveau ou à un niveau plus global.
Quel type de support allez-vous utiliser pour partager vos réflexions : article de blog, image, vidéo, carte heuristique… ?

Défi

Jean-Michel vous propose un magnifique défi cette semaine, pour aller plus loin après avoir rempli le questionnaire :
Participez à une réunion auto-organisée d’échange d’expérience (durée 1h30)
Objectif : apprendre à participer à une réunion en ligne, apprendre à s’auto-organiser et échanger avec d’autres sur les questions qui vous semblent importantes pour votre groupe
Une fois rempli votre questionnaire, il peut être intéressant d’échanger avec d’autres :
  • Vous pouvez par exemple parler des points sur lesquels vous êtes prêt à le faire avec les membres du groupe ou même leur proposer de remplir eux-mêmes le questionnaire. Dans ce cas, les échanges collectifs ensuite sont vraiment étonnants ! Un groupe trouve bien plus facilement les meilleurs solutions une fois que les bonnes questions sont posées, que n’importe lequel des meilleurs experts…
  • Vous pouvez également échanger avec d’autres qui ont analysés leur propre groupe. Les questionnements et les analyses de tous enrichissent fortement chacun.
Nous vous proposons un petit exercice collectif : sur trois des thèmes abordés dans le questionnaire qui sont souvent cités comme important, nous allons mettre à disposition 3 réunions en ligne. Vous pouvez souhaiter participer à l’une, à deux ou même aux trois  :
  1.  Lundi 18 18h : Convergence et conflit dans les groupes Salle de réunion : http://i4p.ca/Convergenceetconflitdanslesgroupes
  2.  Mardi 19 18h : Implication et désimplication dans les groupes Salle de réunion : http://i4p.ca/Implicationetdesimplicationdanslesgroupes
  3.  Mercredi 20 18h : partage des informations et culture partagée dans les groupes Salle de réunion : http://i4p.ca/Partagedesinformationsetculturepartagedanslesgroupes




En suivant le lien le jour et l’heure dite vous arriverez vers un outil de visio très simple (Flashmeeting) et un pad ou vous trouverez le déroulement prévu et pourrez prendre des notes.
Vous serez avec d’autres qui sont intéressés par le même thème, avec une règle du jeu mais sans animateur ! A vous de participer, de suivre la règle du jeu, et de profiter au maximum des échanges d’expérience sur le thème de la réunion en ligne.
Le mode d’emploi de Flashmeeting :
  1. Vous aurez besoin d’un micro (ou microcasque), si possible d’une webcam et c’est tout (rien à télécharger).
  2. A l’entrée, choisissez « enter as a guest » (sauf si vous avez déjà un compte Open University), donnez votre autorisation au système d’utiliser votre micro et votre webcam et entrez un pseudo.
  3. Une fois dans la réunion vous pouvez prendre la parole en cliquant sur « start broadcasting » (ou « enter queue » s’il y a déjà quelqu’un qui a demandé la parole avant vous). Lorsque vous avez fini de parler, cliquez sur « stop broadcasting » afin de laisser la parole aux autres.
Si vous participez à ce défi, merci d’en rendre compte sur les différents supports de publication !

Sources : Cliquer ici

Le retour du questionnaire ici

Présentation du Google.doc essai de synthèse:ici

La vidéo du Hangout de Jean-Michel Cornu 

 

Le Questionnaire retour Communauté Groupe COCOO